Coco le cyclo...

Coco le cyclo...

Trail du Verbier St-Bernard 07/2014 : enfin j’ai pu courir ! (2ème partie)

suite et fin !

 

A peine reparti, je croise dans le village le Suisse qui a fait la montée derrière moi après Champex, il vient de passer le relais à son coéquipier. Il m’encourage et me donne rendez-vous aux autres ravitaillements car il va suivre son équipier. Une fraîcheur sur les fesses m’inquiète. Mon sac à dos est tout mouillé au fond et goutte sur mes fesses. Je m’arrête illico pour regarder ma poche à eau dans mon sac. Pas de panique, elle a l’air bien fermée et ne fuit pas à priori. Je repars et attaque la côte, une longue qui nous attend. 3 à 4 lacets plus haut, j’aperçois en contrebas la Suisse du Jura qui vient de repartir elle aussi. Un peu plus haut je la vois monter à bonne allure et me rattraper peu à peu. Devant moi un couple qui monte à mon allure et me donne du coup le tempo. Je garde mon rythme, mais peu à peu je finis par les rattraper. Pendant ce temps mes fesses sont de plus en plus trempées, certainement que j’ai trop rempli ma poche à eau et du coup le système de fermeture n’est plus étanche. Je m’active donc à boire régulièrement pour faire diminuer le niveau et arrêter ces fuites intempestives, ce qui fonctionnera assez bien. Derrière personne ne revient, elle a dû ralentir un peu son rythme car elle m’aurait rattrapé assez vite à son rythme. Nous pouvons malgré la grisaille apercevoir un peu de paysage, et ce n’est pas désagréable. Les prés sont en plus tout en fleurs. Un panneau signalétique nous apprend que nous sommes sur le sentier des bergers. Nous croiserons en effet plusieurs troupeaux le long de ce sentier, à différentes altitudes.

 

 

Au fil de l’ascension, les montagnes environnantes se font de moins en moins imposantes car avec l’altitude nous n’avons plus à lever les yeux. 2 coureurs un peu moins rapide font bouchon devant. Il faudra attendre un passage large pour enfin pouvoir les doubler. Et du coup m’étant un peu reposé derrière, j’en profite pour doubler aussi le couple. Une petite partie plus roulante, puis suivie d’une descente dans une zone boueuse, me permettent de creuser l’écart, sauf que je m’enlise un peu et qu’un autre coureur, un relais, me double à ce moment-là à l’aise. Il faut dire qu’il est sorti du chemin pour éviter la boue, ce que je me tâtais depuis un moment… et que je finis par faire aussi pratiquement au moment où nous rejoignons un grand chemin roulant. La prochaine fois, je me déciderais plus tôt ! Et des prochaines fois, il va y en avoir un paquet, sauf que le terrain ne s’y prêtera que rarement à cause de la pente. Le paysage est de plus en plus beau, les névés font leur apparition, les chemins servant de lit aux mini torrents sont sympas mais nos pieds apprécient un peu moins. De petits lacs font leur apparition, un peu de soleil aurait rendu magnifique  le secteur, dommage. De névé en névé, nous approchons enfin du col. Sans bâtons je ne suis pas très à l’aise sur les névés en descente. Mon cuissard est rapidement trempé après 2 glissades. Mais ayant basculé côté sud, ils disparaissent très vite et retrouvant la terre ferme, je suis plus à mon aise. Laurent lui me confiera qu’il s’est régalé sur les névés en descente. Pas encore mon cas, je fais un peu un blocage psychologique. Ca l’était sur les chemins techniques empierrés il y a 3 ans, ça ne l’est plus, encore un peu d’entraînement sur ce type de terrain et peut-être me décoincerais-je un jour !

 


 

La descente nous amène rapidement sur la route du col du Grand St-Bernard, et nous accédons au col par un bout de chemin tout dallé en contrebas de la route, puis par un petit goulet dominant la station que nous rejoignons pour le ravitaillement contrôle. Le minimum syndical encore une fois, le temps de me ravitailler sans trop manger toutefois pour que cela ne pèse pas sur l’estomac, ayant suffisamment de réserve sur moi pour tenir jusqu’à la fin à présent.

 


 

Nous longeons le lac, puis grimpons encore un col pas trop long, le col des chevaux, avant d’attaquer cette fois une grande descente. Un panneau nous signale qu’il est interdit de se dépasser dans la descente car elle est dangereuse. En effet, j’aperçois d’autres coureurs en contrebas, presque à pic sur ce passage. Inutile de dire que nous n’avons pas envie dans tous les cas de doubler tellement c’est étroit et à pic. Le passage ne dure pas trop longtemps heureusement et s’améliore assez vite, ce qui me permet de faire une photo. Pris par le risque de chute, je n’ai pas pensé à sortir l’appareil dans ce passage. Bien souvent dans ces moments « ludiques » mais dangereux, mon esprit est trop occupé pour que je pense à prendre une photo. Ma concentration est bien souvent à son maximum dans ces cas-là. La descente continue de plus belle, mais pas très pentu. Un coureur déboule dans mon dos,  assez à l’aise, plus que moi ce qui est sûr, que je laisse passer dès qu’il approche. J’arrive à la hauteur de l’entrée du tunnel pour les voitures qui ne veulent pas passer par le col. Un petit arrêt pipi s’impose. Je repars et vlan ! Une douleur vive me reprend derrière le genou gauche. J’y crois pas, ça va pas revenir maintenant ! Mais si la douleur ne veut pas disparaître et me bloque si je veux courir. Je pousse une bonne gueulante pour me soulager, et repars doucement en marchant. Au bout de 2,3 tentatives pour courir, j’arrive à reprendre un tout petit rythme sans trop de douleurs. Elle disparaît peu à peu au bout de 10’, pour ne plus revenir ouf ! J’ai eu chaud, mais du coup je ne cours plus l’esprit tranquille, trop peur qu’elle revienne.  Je retrouverai quand même ma sérénité au fil des km, n’y pensant plus. Plus loin je rattrape un couple de coureurs marchant la main dans la main, c’est le coureur à l’aise dans la grande descente dangereuse ! Bourg Saint-Pierre n’est plus très loin, les 2/3 sont quasiment fait. Base de vie, nous allons pouvoir bien nous ravitailler et récupérer notre sac. Je réfléchis à ce que je vais faire, finalement cela se résumera à reprendre un peu de ravitaillement (barre de céréales et compotes) et c’est tout. Je ne changerai pas de chaussettes car mes pieds ont quasiment finis par sécher. Ce qui après coup est une erreur car mes pieds ne seront pas très beau à voir à l’arrivée, ayant repris de la flotte par la suite, surtout que j’avais mes chaussettes imperméables dans mon sac à dos. Un petit coup de micro à l’arrivée au ravitaillement par l’animateur local qui me demande mes impressions et me voilà dans la grande salle. Je récupère mon sac, prends mon ravitaillement et referme mon sac. Je passe à la table ravitaillement et fais le plein à nouveau de bouillon et fruits frais et secs. J’ai même droit à une banane entière à ma demande. A peine 1/4h d’arrêt je pense et me voilà reparti pour le dernier 1/3 du parcours.

 


 

Le brouillard est là de nouveau, la pluie aussi mais légère. Nous prenons la direction de la cabane de Mille où nous rejoignons le circuit de Liddle - Verbier pris par Mélanie et Françoise. Elles sont passées il y a déjà un moment, heureusement pour elles. Je suis toujours en tee-shirt depuis ce matin, je ne sens pas la fraîcheur ambiante. C’est preuve que je suis encore bien actif et suffisamment pour me réchauffer car sinon j’aurai enfilé ma veste depuis un moment. Entre ceux des relais et ceux de la X-Alpine, on ne sait plus qui fait quoi. Le dossard pourrait nous le signaler, mais bien souvent on ne le voit pas. Je double, je me fais doubler, ça mets un peu d’animation, moi qui pensait que j’allais finir sans voir plus personne quasiment. Le chemin très vallonné pour atteindre la cabane de Mille est aussi pas mal boueux. Nous traversons des prairies à vache, le chemin est dans un triste état après leur passage… et celui des autres coureurs ! Le brouillard ne nous quitte plus, nous ne verrons plus de paysage pour la course car la nuit va bientôt nous prendre. Bien dommage pour tous ceux comme moi qui ne connaissent pas la région. Au détour d’une montagne, le vent nous prend d’un seul coup et me glace le corps. ½ tour aussi sec pour me remettre à l’abri et enfiler ma grosse (mais légère) veste de montagne, que je teste pour la 1ère fois en trail. Cela me prend quelques minutes pour la sortir du fond de mon sac, et m’habiller, et du coup je me fais rattraper par plusieurs que je venais de doubler dans l’ascension. Petit point technique à revoir pour une prochaine fois. Je ne regrette toutefois pas ce temps de perdu car je me retrouve bien au chaud à présent. Je l’apprécie de plus en plus au fil des km car mon tee-shirt mouillé par la pluie sèche à présent à l’abri sous ma veste, je suis bien sans transpirer, et la pluie ne transperce pas ma veste. Des conditions idéales pour finir cette course. A la cabane de Mille, toute petite, elle est pleine de coureurs, dont certains essayent de se réchauffer autour du poêle. Le temps de boire un bouillon, grignoter quelques grains de raisins secs, et je repars illico presto après avoir installé ma lampe frontale qui va vite devenir obligatoire.

 


 

La descente sur Lourtier ne restera pas dans les annales, because je ne m’en rappelle quasiment pas… hormis la boue, les ruisseaux à traverser en se mouillant les pieds… L’arrivée sur le village est un peu une délivrance après 1000m de D- dans la nuit qui est tombée peu après mon départ de la cabane de Mille. Du monde pour nous encourager encore, des accompagnateurs qui attendent leur poulain et les bénévoles qui nous soutiennent en permanence. Arrivé dans la salle, je commence à me ravitailler quand une bénévole me demande si ça va car ce qui nous attend est « dantesque » d’après ses dires, et si ça ne va pas, il ne faut surtout pas continuer ! Il fait très froid en haut et ça monte très dur, elle nous encourage à arrêter si on ne va pas bien. « Purée ! » me dis-je, « encore une galère de 1er choix pour terminer ! ». Mais pas question de m’arrêter là, fatigué certes, mais pas de douleurs, rien qui pourrait m’inciter à stopper devant cet obstacle : une montée très raide, ce n’est pas un gros souci en soi en ce qui me concerne, un grand froid là-haut, pas de problème je suis bien équipé. Et au contraire, ce sera un bon test pour voir l’efficacité de ma veste en vue du Tor des géants. Pas de pot, je n’ai pas senti du tout le froid (étais-je donc trop bien équipé ?), et la côte, pour raide elle l’était, mais pas plus si ce n’est moins que celle de Champex  ce matin. Je prends donc le temps de me rassasier une dernière fois en potage et fruits. Petites entorses, je goûte par curiosité le soda local que je vois trôner sur les tables depuis ce matin. Un genre de limonade en fait. Pas d’envie d’en boire plus. Et je prends une tranche de jambon blanc qui me fait envie depuis un bon moment à sa vue. Moi qui en étais friand il y a quelques années, une fois mis en bouche, je l’ai regretté, pas de plaisir à le manger. L’alimentation crue et vivante étant passée par là, mon corps n’en apprécie plus le goût et la texture. A cette allure, je pense que l’envie juste à la vue va finir par me passer assez vite aussi. Je quitte donc ce dernier havre de paix pour le dernier tronçon montant, mais pas n’importe lequel en effet. A peine 100m après la salle de ravitaillement, une côte bien raide se dresse devant nous et ne diminuera pas de longtemps. Je garde toujours mon rythme, soutenu, car je vois devant moi une lueur de temps en temps qui me sert de lévrier. Tout doucement je la rattrape et passe le coureur au profit d’un arrêt. Petit mot d’encouragement, une réponse très sommaire. La fatigue prend le dessus dirait-on. Une autre lumière se profile pas très loin devant. Peu après je trouve un sur-gant imperméable sur le chemin. Je le ramasse et présume qu’il doit appartenir au coureur qui est juste devant. Pas loupé, peu après je le vois s’arrêter et faire demi-tour. Il est tout content de retrouver son gant, ce qui se comprend. Je repars devant et continue mon ascension, toujours aussi raide. Les 2 coureurs doublés en peu de temps sont entre 100 et 200m derrière, la distance ne variera guère pendant toute la montée restante. Dans la nuit, nous longeons sur un côté en forme un peu de crête une grand ravine dans lequel coule un torrent. Soudain dans la nuit, le bruit d’une avalanche de rochers que je peux situer assez rapidement dans cette ravine mais au-dessus de nous. Je tends l’oreille au maximum, je suis vite rassuré, nous ne sommes pas inquiétés là où nous sommes. Une deuxième avalanche se déclenche peu après, un peu moins forte. Je réalise que c’est le genre de risque auquel nous pouvons être confrontés tôt ou tard avec les pluies et autres phénomènes naturels, et que le jour où ça pourrait arriver, il n’y aura pas grand-chose à faire si ce n’est de prier pour passer à travers, à moins d’un miracle pour trouver un abri juste à ce moment-là. Restons positifs, ce n’est pas pour maintenant, ouf ! Arrivés sur les hauteurs, quelques replats, le 1er coureur que j’avais doublé dans l’ascension me rejoint à 300m du contrôle ravitaillement et passe devant, le second me talonne à l’arrivée au poste. Le 1er ne s’arrête quasiment pas et repart de suite. Avec le second, nous prenons le temps de nous ravitailler une dernière fois et de discuter un peu, le temps de voir une coureuse enveloppé dans une couverture de survie accompagnée de 2 personnes se diriger dehors vers une voiture qui la rapatriera. En effet ce fut certainement « dantesque » pour certains car elle n’est à priori pas la seule a être arrivée grelottante de froid là-haut. Mais pour la plupart, rien d’exceptionnel, j’ai déjà vécu des situations bien pire. Il est vrai que mal équipé, la situation peut très vite basculée dans le mauvais sens. Nous repartons ensemble, mais mon compagnon de quelques instants va très vite me distancer dans la descente. Quelques hectomètres sur la grande piste où la voiture rapatriant la coureuse me double, le chauffeur m’encourageant au passage. Puis je bascule sur un sentier assez pentu. La boue va vite me paralyser, la fatigue aidant certainement. Je ne prends aucun risque, tant pis pour le chrono. Je sais de toute façon que mon objectif de 20h est d’ores et déjà dépassé et de beaucoup, donc rien de motivant à prendre des risques. Cette dernière descente va être longue, pas de plaisir, alors que j’ai les moyens encore de courir sans problèmes. Je prends mon mal en patience et zieute impatiemment le fond de vallée. Je profite toutefois de parties mieux roulantes pour courir, mais le cœur n’y est pas vraiment. Dans ma tête cette course est terminée, je suis déjà en train de me projeter dans le Tor des géants. J’analyse et enregistre tout ce que je peux pour finir de préparer au mieux mon organisation du Tor. Au fond de moi, je suis heureux car j’ai pu terminer cette course en courant tout le long, hormis une alerte très courte et sans suite. Ca me rassure pleinement, et je termine relativement frais en plus. Un peu en dessus de Verbier juste après un hameau, nous sommes sur une grande piste. Je loupe à priori un carrefour car je ne vois plus de balises au bout de quelques hectomètres. J’aperçois en contrebas dans la forêt 2 frontales. Je décide de garder la grande piste, pas envie de remonter sur 500m, en espérant qu’elle recoupe le chemin de la course. En effet 500m plus bas je retrouve des balises que cette fois je m’efforce de ne plus louper. A l’entrée de Verbier, plus rien ! un autre coureur devant moi cherche lui aussi. Je remonte, je ne vois rien d’autre. Un autre coureur nous rattrape, il voit une balise collée à un poteau mais non fluorescente que je n’avais pas vu. A ce moment là l’autre coureur trouve lui aussi une autre balise un peu plus bas. C’est donc reparti à 3. Plus qu’à 2 rapidement car le premier n’a plus la force de courir. Des accompagnateurs attendent l’autre coureur avec qui je cours à présent dans les rues de Verbier à bonne allure. Discutant avec ses amis, j’en profite pour filer devant et retrouve à mon tour à 150m de la ligne d’arrivée, Mélanie et Françoise venues m’attendre. Je continue à mon allure pris par ma vitesse sur cette portion descendante. La ligne est là, le photographe aussi pour la photo souvenir. L’autre coureur arrive juste après. Je récupère ma veste de finisher sans manches ultra légère coupe-vent devant et très aérée derrière, style de veste dont je trouve de plus en plus l’utilité. Une navette nous emmène à la douche, Françoise m’ayant apporté tout le nécessaire. Les douches sont celles de la patinoire, qui se situe juste en face du parking où nous sommes garés et où nous dormons. Du coup elles vont se recoucher pendant que je prends ma douche. Celle-ci est aussi chaude que l’eau des torrents ! Inutile de dire que c’est la déception pour tous les coureurs (hormis les premiers !), mais cela ne m’empêche pas de me laver. Je ne traîne pas sous le pommeau c’est tout ! Aglagla… Elle fait tout de même du bien, au contraire c’est même meilleur pour la récupération en contractant les vaisseaux. Moralement ce n’est pas ce qu’il y de mieux par contre. La peau de mes pieds est intacte, mais dans un sale état, fripée à mort. Après quelques heures de repos tout sera rentré dans l’ordre. Benjamin qui a suivi la course à distance, avait appris à Mélanie lors du dernier contrôle avant l’arrivée que j’étais 2ème V2. C’est en effet le cas, une cerise sur le gâteau que je n’escomptais pas au vu de mon retard sur mon planning. 45ème en 22h38 (8h après le 1er quand même!) sur les 360 partants environ, et 173 à l’arrivée. Une progression de contrôle en contrôle comme à mon habitude :

                Sembrancher :                 196ème

                Champex :                         186ème

                Cabane d’Orny :              134ème

                La Fouly :                            117ème

                Col de fenêtre :                90ème

                Col Grand St Bern.:         83ème

                Combe de Drône :          66ème

                Bourg St-Pierre :              69ème

                        Cabane de Mille :            54ème

                Lourtier :                             48ème

                La Chaux :                           44ème

                Verbier :                               45ème

 

Laurent est arrivé 1/2h après, en se faisant plaisir dans la dernière descente où il m'a mis 1/2h dans la vue ! Bravo ! Alain aura eu moins de réussite, trop pris mentalement par d'autres projets et aura arrêté à Bourg St-Pierre. Nous nous retrouverons le lendemain matin pour boire un coup ensemble avant qu'ils ne repartent.

Nous sommes donc restés jusqu’au dimanche midi pour la remise des récompenses par politesse, bien que cela ne nous arrange par forcément vu la route à faire. Des récompenses très appréciées pour tous les lauréats, loin d’être de simples « gadgets ». Pour ma part, une veste coupe-vent imperméable de Columbia qui a atterri vite fait dans le sac à Mélanie, étant déjà fourni pour ma part. Un tee-shirt technique HOKA qui trouvera preneur chez Benjamin, et un abonnement d’un an au magazine Zatopek que je me suis gardé tout de même. Cela valait le coup d’attendre.

Merci à nouveau à tous les bénévoles et organisateurs qui nous ont offert un beau parcours. Dommage que le temps ne fut pas de la partie de son côté, cela aurait été magnifique. Et un grand merci à Laurent pour tous ses conseils sur le Tor, ma préparation mentale et technique va être ainsi au top.

A présent un mois de vacances, mi vélo mi GR20 à pied tranquillement, le tout en autonomie complète. Un mois de liberté complète, qu’est-ce que ça va faire du bien aux neurones ! Un gros plein d’énergie pour le Tor une semaine après, l’idéal…

 


 

 

           

 



29/07/2014
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