Coco le cyclo...

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l'ultra 6000D : 2ème partie et fin !

l'ultra 6000D : 2ème partie et fin !

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Nous commençons par traverser les alpages, la descente est relativement douce. J'arrive à garder un rythme correct, ce qui me réjouit. J'espère enfin avoir dépassé définitivement cet obstacle qu'était la descente dans mon esprit. Des progrès à faire encore, mais ça viendra avec le temps. Je garde à l'esprit de m'économiser un maximum pour ne pas me détruire les articulations des genoux surtout. Tout en allant plus vite, je me sens plus souple et je pense que je m'économise plus sur ce plan là. La descente est longue, je ressens de nouveau la fin déjà. Allez hop une barre de plus, je n'attends pas.

 

 

Sur la fin de la descente, nous nous retrouvons un petit groupe dont Franck et Jean-Marc. Le sentier en sous-bois et tout en zigzag est superbe, souple, sans trop d'obstacles. Dommage pour les photos, la zone est sombre, je n'en ferai point de correctes. Mais ce genre de sentier vous dope le moral, en ce qui me concerne du moins car j'y prends mon pied. Nous atteignons Champagny en Vanoise avec un petit soulagement que la descente soit enfin terminée, mais sans plus. Y a du progrès ! Un peu de route le temps de traverser la rivière et nous voilà à nouveau sur un joli chemin forestier.

 

 

Juliette un peu devant toujours, Jean-Marc et moi qui entamons une petite causerie, un Danois et Franck. Nous distançons légèrement ces 2 derniers au profit de la côte. J'apprends que Jean-Marc est un ami de course de Bruno Heubi, un spécialiste des 24h. Intéressant, intéressant ! Et qu'il a déjà effectué plusieurs UTMB et Grand raid de la Réunion. Un peu concentré par l'état du chemin qui devient plus technique, je n'aurais pas l'occasion d'approfondir le sujet avec lui, car je n'arrive pas à le suivre. Je l'aperçois qu'il rattrape Juliette et la double sans problèmes. Je n'ai pourtant pas l'impression de ralentir, mais je pense manquer un peu de souplesse sur ce terrain accidenté. Je garde Juliette en point de mire, et nous continuons ainsi à remonter le fond de vallée en longeant la rivière jusqu'au 3ème ravitaillement à Champagny le haut. Pas vraiment faim, mais je grignote un minimum pour éviter tout risque. Nous continuons toujours dans ce fond de vallée que nous remontons. Une belle cascade sur notre gauche agrémente le paysage. Juliette a levé un peu le pied à priori, elle est à présent un peu derrière. Jean-Marc est toujours devant, mais pas très loin. Franck a lâché un peu de terrain. Je saurai après coup qu'il avait commencé à subir quelques petits désagréments. Pour ma part, je me sens relativement bien encore alors que nous approchons les 50 km. Je ressens toutefois un peu plus de fatigue dans les mollets qu'à Crest. Les cuisses, rien, un vrai plaisir. Après le Laisonnay où nous rentrons dans le parc de la Vanoise, je rattrape Jean-Marc qui a levé légèrement le pied.

 

 

Nous continuons un peu ensemble, et je profite des premiers raccourcis un peu raides qu'emprunte le circuit pour nous éviter le grand chemin pour sortir mes bâtons. Je ne vais tout de même pas les promener pour rien. Mais ils m'obligent à faire chaque fois la gymnastique quand je veux prendre une photo : pas très pratique, mais je n'ai pas le choix. Un peu plus haut, nous rencontrons accroupi au bord du chemin 2 personnes en train de photographier (ou filmer ?) quelque chose. Je jette un œil, et je finis par apercevoir une marmotte en contrebas en train de se toiletter. Je m'arrête à nouveau pour tenter une photo malgré mon éloignement, et la regarder faire. Comme je vais pour repartir, ne vois-je pas à quelques mètres de là 2 marmottons en train de jouer comme 2 chiots, en se montant dessus et à grands renforts de cabrioles. Je regrette vraiment de ne pas avoir un appareil plus puissant pour les filmer. Re belote je tente la photo. C'est reparti dans notre lente ascension. Je rattrape Jean-Marc assez rapidement, et surtout nous commençons à doubler et croiser pas mal de randonneurs. Le lieu à l'air assez fréquenté. Marche, course, j'alterne les deux suivant le pourcentage. Je continue à mon rythme, lâchant petit à petit Jean-Marc. Mais l'écart reste assez faible. Le brouillard refait son apparition aussi. Jamais de forts pourcentages, mais ça grimpe continuellement. La fatigue me limite assez vite l'allure course, mais j'arrive à alterner avec la marche assez souvent, et surtout à relancer sitôt que le pourcentage le permet. Les randonneurs que nous croisons ou doublons sont de plus en plus habillés.

 

 

La température n'est pas très élevée, mais encore supportable pour nous en pleine action. Je croise un garde du parc qui nous annonce notre place : 23ème ! Je n'en reviens pas. Pas étonnant que nous ne voyions plus grand monde. Sachant que les premiers sont déjà très loin devant, il y a peu de chance d'en rattraper encore. Pas de montre, ni de cardio, rien ! J'apprécie de plus en plus cet état. Mon esprit est tout occupé à gérer mes sensations et agir en fonction. Dans tous les cas, je ne peux pas avancer plus vite. Donc inutile de se décevoir si l'on est en retard sur des prévisions qui sont toujours aléatoires en plus sur un trail. Le brouillard est de plus en plus présent, mais ne m'empêche pas d'apercevoir un autre coureur devant. Je le rattrape assez facilement, puis encore 2 autres pas loin devant non plus. Nous nous encourageons mutuellement. Le relief commence à s'aplanir un peu, des rochers aux formes bizarres font un peu fantômes dans le brouillard. J'ai la nette impression à présent que nous sommes sur le sommet, le relief est redevenu plat. Je satisfais au bord du chemin à une envie devenue pressante : la preuve que j'ai dû assez boire cette fois, bien que je n'aie pas encore re rempli mes 2 bidons de 75 cl. Une fois soulagé, je repars en entendant mes poursuivants qui reviennent tout prêt.

 

 

Cà descend et on aperçoit une tente pour le contrôle du col du Palet. C'est la 1ère fois que j'effectue une montée aussi longue. Pas de Françoise en vue alors qu'elle avait prévu d'y venir. Tant pis, je la retrouverais un peu plus bas certainement. N'ayant rien de mieux à faire ayant satisfait au contrôle, j'attaque la descente par un grand chemin. Un peu en contrebas, un gîte où il y a un peu d'animation et des encouragements par les randonneurs qui sont présents. Je me régale toujours du paysage et n'arrête pas de prendre des photos. Mais voilà, il arrive ce qui devait arriver : la panne ! Pas de problème, j'ai une batterie de rechange. Il me faut par contre enlever mon sac à dos et tout l'attirail qui va avec pour l'atteindre. Cela me prend 3', le temps à Jean-Marc de me rejoindre. Nous repartons ensemble. Nous avons droit à une succession de parties roulantes sur sentier, de parties techniques avec rochers parfois glissants, cailloux, torrents à traverser… Nous ne nous ennuyons pas du coup. Régulièrement on croise des randonneurs à nouveau. Nous finissons par déboucher sur un passage resserré et plus pentu qui nous permet de dominer le lac de La Plagne.

 

 

La vue est belle, je mitraille à nouveau. Un troupeau de vaches est au bord du chemin, et une me coupe le chemin. Allez hop je joue à saute-vache !… Euh non trop risqué dans mon état (et même en état normal !). Je fais délicatement le tour en espérant ne pas recevoir un coup de queue qui se balade dans tous les sens. Je finis par dépasser le lac et me trouve même en contrebas de celui-ci. Un peu plus loin une partie plus plate. Je croise trois randonneuses qui me pose la question : « Vous faites combien de km ? » « 110 km, mais rassurez-vous il n'en reste que 35 ! » Toutes les 3 me répondent dans une harmonie parfaite « ah bon ! » pour rentrer dans mon jeu. Ce qui m'amusera aussi pendant quelques instants. Mais de courte durée car nous traversons un nouveau passage technique avec de gros cailloux ou petits rochers (au choix). J'y vais délicatement, trop peur de me tordre une cheville.

 

 

Un autre participant me talonne et nous continuons ensemble plus ou moins. Il me passera devant un peu plus loin car je n'ai pas choisi le bon passage. Mais il ralentira un peu plus loin et je repasserai devant. Peu à peu nous devinons le fond de vallée et finissons par y arriver. Ce que je croyais être le point de ravitaillement ne l'est pas. 2 supportrices accompagnent celui qui me suit pendant les 2 à 3 km qui nous séparent du ravitaillement. Je finis par prendre un peu d'avance et arrive sur un centre équestre où là un cheval monté par une jeune cavalière trouve le moyen de se planter devant moi et de lever la queue pour satisfaire ses besoins. J'éviterai soigneusement ce beau crottin tout frais tout chaud pour rejoindre le ravitaillement qui est juste après. Toujours pas de Françoise alors que j'ai vu sa voiture sur le parking un peu plus haut au bas de la descente. Nous avons dû nous louper !

 

 

Petit rafraîchissement au coca-cola que m'offre une des 2 supportrices (Merci !) qui nous ont suivis car il n'y en a pas sur le ravitaillement. Je mange un peu, je bois, et remplis une de mes gourdes avec de la boisson énergétique. Je pars, mais finalement je suis pris de remords et fais demi-tour. « Vous avez oublié quelque chose ? » « Oui, je n'ai pas assez mangé ! ». Je remets le couvert mais léger, et repars définitivement cette fois. Je me retrouve seul cette fois. Personne devant, personne derrière. Nous repartons par un chemin carrossable qui dure, si bien que je suis sans cesse en train d'épier les petits sentiers par où nous pourrions partir. Mais non, nous restons sur le grand axe. Et même pendant plus d'un km, aucune balise ! Je commence à douter de mon chemin. Je finis par croiser des randonneurs qui me confirment bien que c'est le bon chemin. Ca me soulage, et en effet à une bifurcation je retrouve la rubalise fluo et les marques au sol.

 

 

Nous quittons enfin le grand sentier, mais ce ne sera finalement que pour prendre un raccourci à travers pré pendant quelques dizaines de mètres. Le grand chemin carrossable a repris et dure encore un bon moment. Une barrière à franchir, je passe par-dessous, mais je me débrouille mal et me retrouve tout tordu… hou la la les muscles ! A éviter. Cela fait un moment que je me retrouve seul, ce grand chemin en plus, cela devient monotone. Nous rejoignons une petite route qui arrive à une station, Plan Bois (si je ne me trompe pas !). Nous gravissons une piste de ski, quand j'aperçois au bout d'une belle ligne droite grimpante, un comité d'accueil. Contrôle et ravitaillement surprise, il n'était pas prévu ! J'en profite et me restaure avec appétit de nouveau.

 

 

Même un groupe musical joue pour nous redonner le rythme et mettre de l'ambiance. Ce que j'apprécie bien après la monotonie des derniers km. Au moment de repartir, je m'aperçois qu'un autre coureur ne va pas tarder à arriver sur le ravitaillement. J'attaque alors la dernière côte, le col de l'Arpette. Ce sera un vrai régal avec une mono sente magnifique qui nous amène sur le haut de la station de La Plagne. J'arrive sur le Col par un large chemin tout gris, le décor n'est pas des mieux. Au col lui-même, les montagnes d'en face nous replongent dans un décor beaucoup plus agréable. Cela en est fini pour les grandes montées, à mon regret car la descente qui m'attend est longue, plus de 20 km. Le début à travers les alpages est assez joli, et se passe bien. J'ai enfin trouvé la technique pour descendre, et du coup la descente devient beaucoup moins fastidieuse. Nous arrivons d'abord sur Belle Plagne où un speaker commente le passage des coureurs tout en faisant de la publicité pour les animations du village. Un peu plus loin c'est Plagne Bellecôte, avec un ravitaillement et contrôle avec des spectateurs en nombre. Idem un speaker anime en annonçant les coureurs et en nous interviewant.

 

 

Je reprendrai une soupe, discuterai un peu avec un couple que j'aurai le plaisir de retrouver le lendemain au repas de clôture. C'est reparti, le suivant arrivant comme je repars. La suite redevient un peu monotone sur un large chemin. 2ème arrêt pipi prêt d'un ruisseau dont la fraîcheur et le « glouglou » me ravivent le besoin. Ai-je tant bu que ça ? Y aurait-il du progrès là aussi ? Le sentier se rétrécit enfin et devient beaucoup plus agréable de fait. Soudain j'entends mon portable qui sonne. Je suis dans une légère montée, je n'ai pas envie de m'arrêter là. J'attends une partie plate pour enlever mon sac à dos et chercher où j'ai caché ce téléphone. Je finis par lui mettre la main dessus, mais pas de chance ça ne passe pas. Je repositionne le sac et tout mon attirail tout en gardant le téléphone à portée de main. Comme je repars, j'aperçois un coureur qui arrive sur mes talons. Je reprends mon rythme assez soutenu en fonction du km déjà effectué. Je n'en reviens pas moi-même de réussir à courir encore de la sorte, bien que les mollets soient fatigués. Toujours rien dans les cuisses, elles vont à merveille. Je retente dans une nouvelle descente d'appeler Françoise. Elle se demande bien ou je suis car au contrôle de Pont Baudin ils ne m'ont soit disant pas vu passer ! Du coup je la rassure, croyant que j'avais dû abandonner quelque part. En discutant après l'arrivée, nous constaterons que nous nous sommes loupés au lac de La Plagne, n'ayant pas pris le même chemin. Mon poursuivant en a profité pour me rattraper du coup. Nous continuons ensemble à présent.

 

 

Comme nous arrivons sur Montchavin, zut : plus de batterie à l'appareil photo. Et je n'en ai pas d'autre. Du coup je rappelle Françoise pour lui dire de préparer son appareil photo pour l'arrivée. Pas de pot elle a oublié de recharger les batteries avant de partir, et les 2 sont vides. Décidément ! On se passera de photos pour la fin bien obligée. Tant pis pour le diaporama que j'avais prévu, je ferai sans. La traversée du village est sympathique, des spectateurs sont là pour nous encourager. L'animation nocturne se prépare, certains sont en train de dresser une allée de torches. Je n'aurai pas le plaisir de voir ce beau spectacle, mais difficile de tout avoir dans ces cas. Contrôle ok, je squizze le ravitaillement me disant que j'en ai assez pour finir. Nous continuons par une belle descente. Alexandre n'est pas loin derrière moi, nous allons à la même allure. Nous rattrapons un autre coureur pour qui les descentes deviennent très dures à priori. Je commence à trouver du plaisir à descendre, même si la fatigue des mollets me freinent un peu. Dans les petites côtes, Alexandre a du mal à suivre mon allure. Mais sur le plat il a une meilleure foulée. Un peu plus loin, je m'aperçois que mon dossard ne tient plus que par un angle. Je décide de l'enlever carrément et de le garder à la main. Alexandre me dépasse et quand je vais pour repartir derrière lui, plus rien dans les jambes ! Panne sèche. Le carburant fait défaut. Je vois Alexandre disparaître rapidement. Je me dis qu'en buvant un bon coup de boisson énergétique ça devrait revenir. J'ai beau boire et reboire, rien ne se passe. Il reste 5 km, je décide d'y aller tranquillement à mon allure, tant pis pour le chrono. Il fait encore jour et je sais sauf accident que j'arriverai de jour ce que je n'aurai pas parié le matin au départ. Rien que ça me satisfait pleinement et me donne suffisamment de force pour me traîner jusqu'à la ligne d'arrivée. Dommage car j'apprécie moins du coup le joli passage en forêt en mono sente qui nous ramène vers Aime en longeant la route par en dessus. Un sentier pas très roulant, très casse-pattes en fin de course, mais ludique. Pas mal à l'ombre bien fournie, j'aurai eu du mal à faire des bonnes photos. Ce qui me permets d'avoir un peu moins de regrets. Je traverse la route et nous continuons à descendre pour rejoindre la rivière et la piste cyclable qui la longe. Toujours personne en vue derrière, je continue doucement sans me faire mal. Les forces ne reviennent pas vraiment. La piste est là, je la reconnais car c'était notre terrain de test hier avec Asics. Il ne me reste plus grand chose, c'est gagné. A peine me dis-je ceci qu'un courant d'air me frôle. C'est un coureur danois qui vient de me rattraper et qui a des ailes. Je n'essaye même pas de m'accrocher. A 1 km de l'arrivée, je viens de perdre une place bêtement. Qu'importe j'arrive de jour et bien placé, quoi vouloir de mieux. Un peu vidé aussi par cette erreur d'alimentation sur la fin du parcours. Ca m'apprendra à sauter un ravitaillement. Bonne leçon de nouveau pour la suite! Du coup je surveille mes arrières sur ce dernier km. Un spectateur m'encourage et m'avertis qu'un autre coureur n'est pas loin derrière. En effet je l'aperçois à 150m derrière. Je garde mon allure pensant que cela suffira pour les 500 derniers mètres. Je me retourne à nouveau un peu plus loin, il se rapproche très vite. J'embraye la 5ème et accélère. Les jambes répondent bien. Nous traversons le centre ville et je passe devant un bar où sont attablés dehors 4 personnes avec une bonne bière pour chacun. Au passage je leur crie : « Préparez ma tournée, j'arrive ! ».  Grand éclat de rire, mais je n'aurai pas le courage de remonter les voir. Tant pis pour cette bière qui m'a émoustillé les papilles. Mon poursuivant se rapproche encore un peu, plus que 30 m. Il me reste encore 250m. Cette fois c'est carrément le turbo que j'enclenche, et je ne suis pas loin de l'allure sprint. Je me sens du coup en pleine forme. La ligne est là, ça y est. L'ultra 600D et ses 110 km sont dans mon escarcelle, et en toute beauté. Françoise est là, elle m'aidera bien pour rejoindre le camping car j'ai les jambes raides en se refroidissant une fois que j'ai eu coupé l'effort. Je suis heureux, j'ai réussi à nouveau un 100 km comme jamais je ne me le serais imaginé il y a quelques mois. L'endurance n'est pas un souci pour moi, le vélo me l'a fournie. Les jambes commencent à encaisser de mieux en mieux, elles devraient encore pouvoir progresser à mon avis. L'UTMB sera mon prochain gros objectif et défi personnel, mais l'année prochaine. Pour les 100 km de Millau en septembre, reste l'inconnu en ce qui me concerne : le goudron. Courir 100 km sur goudron, est-ce que je vais le supporter ou plutôt mes articulations vont-elles tenir le coup ? A voir dans 8 semaines à présent !

Un grand MERCI à tous les organisateurs et bénévoles pour ce magnifique souvenir que je viens d'engranger une fois de plus. Belle organisation, parcours avec des passages superbes, une météo très clémente, même si un peu fraîche le matin sur les crêtes.

Merci aussi à Jean-Marc et Franck avec qui j'ai taillé la bavette. Et toutes mes excuses Franck, je pensais pouvoir te saluer au repas de clôture, et nous nous sommes loupés. Je n'ai pas voulu te déranger le dimanche matin pendant ton petit-déjeuner au camping, je l'ai regretté du coup. Si tu lis ce compte-rendu laisse moi un petit mot, sinon j'essaierai de trouver tes coordonnées auprès de l'organisateur. Idem pour Jean-Marc, ton expérience de l'UTMB et Grand raid m'intéresse. Au plaisir de vous retrouver sur une prochaine course et d'ici là par internet !

Dans 10h nous serons dans l'avion pour Stockholm, 4 semaines de cyclo-camping pour rejoindre Strasbourg tout en visitant. Si je peux, je donnerai quelques nouvelles en cours de route. Sinon rendez-vous début septembre ! Bonnes vacances à tous !

 



01/08/2010
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